Au cours de l’exercice 2015, le chiffre d’affaires réalisé par la branche TMS de Kratzer Automation France a triplé. Il atteint aujourd’hui 14 millions d’euros. Ce montant représente un peu plus de 35 % du chiffre d’affaires généré par les activités de Kratzer Automation AG, soit une progression de plus de 50% par rapport à l’année dernière.
Au cours de l’année 2015, plusieurs chantiers de grande envergure ont été initiés tant par les clients historiques de Kratzer Automation France (Schenker, Gefco), que par de nouveaux clients : notamment (EHDH). Ces projets de déploiement se sont déroulés aussi bien sur leurs marchés locaux qu’en Europe.
Pour accompagner la croissance de ses activités, l’entreprise renforcera ses équipes d’ici la fin de l’année, avec l’embauche de chefs de projets et d’ingénieurs projets. Ils seront employés au siège de Kratzer France, dans l’Essonne, sur le nouveau site de Courtabœuf.
Le développement de Kratzer Automation France a toutes les chances de s’amplifier au cours des prochaines années : « le partenariat avec l’intégrateur IER, conclu cet été, porte déjà ses fruits », indique Jacques Trépant. « Nos services commerciaux travaillent en étroite collaboration depuis plusieurs mois. Nous avons déjà enregistré une vingtaine de leads. D’autres actions conjointes sont planifiées d’ici la fin de l’année pour montrer au marché nos complémentarités et la pertinence de notre offre ».
La gérance de Kratzer Automation France, assurée jusqu’à présent par Gerhard Kratzer, est partagée depuis cet été entre Jacques Trépant et deux nouveaux gérants : Sybille Pessall (CIO de Kratzer Automation) et Andréas Pötz (CFO). Ces changements permettront de soutenir davantage les structures commerciales et administratives afin qu’elles puissent aborder sereinement la croissance des activités, pour les prochaines années.
« Notre souhait est de maintenir ce rythme de croissance pour les années à venir », indique Jacques Trépant. « Le transport de marchandises bénéficie pleinement de la digitalisation des flux. La France est en train de rattraper son retard sur d’autres pays d’Europe. Notre activité est au cœur de cette évolution ».