Au 1er mars, 39 385 sites sont autorisés par l’ANFR, dont 35 088 en service, pour la téléphonie mobile très haut débit (4G) tous opérateurs confondus.
Au mois de février, les autorisations et mises en service de sites 4G ont poursuivi leur progression :
Les demandes d’autorisations des sites 4G se sont accrues de 1,1 % ;
les mises en service de sites 4G ont augmenté de 0,9 %.
En France, 5 bandes de fréquences permettent désormais de fournir un service 4G :
1 646 sites sont autorisés pour la 4G dans la bande 700 MHz[1] (+ 4 % sur un mois) ;
31 193 sites sont autorisés pour la 4G dans la bande 800 MHz (+ 1,5 % sur un mois) ;
28 102 sites sont autorisés pour la 4G dans la bande 1 800 MHz (+ 2,5 % sur un mois) ;
1993 sites sont autorisés pour la 4G dans la bande 2,1 GHz (+ 37,4 % sur un mois) ;
25 630 sites[2] sont autorisés pour la 4G dans la bande 2,6 GHz (+ 1,3 % sur un mois).
Outre-Mer, 2 039 antennes sont autorisées pour la 4G :
1 271 sites sont autorisés dans la bande 800 MHz ;
1 493 sites sont autorisés dans la bande 1 800 MHz ;
19 sites sont autorisés dans la bande 2,1 GHz ;
726 sites sont autorisés dans la bande 2,6 GHz.
Le bilan des sites 4G mis en service en métropole s’établit comme suit :
1. Bouygues Telecom (14 697 sites, + 41 en février) ;
2. Orange (14 603 sites, + 313 en février) ;
3. SFR (14 506 sites, + 126 en février) ;
4. Free Mobile (10 058 sites, + 164 en février).