Alors que des milliers de personnes touchées par WannaCry se sont vues refuser l’accès à leurs données et ont été contraintes de payer une rançon, Brainloop, expert en sécurité de l’information, rappelle que l’utilisation de plateformes virtuelles permet de protéger les données de l’entreprise contre de tels ransomwares dont l’objectif est de bloquer l’accès aux données stockées localement.
Véritables coffres-forts numériques, ces plateformes innovantes et accessibles 24 heures/24 depuis différents périphériques garantissent un stockage et un partage de données hautement sécurisé, clef de voute de toute stratégie numérique. Les données étant sauvegardées en dehors du réseau d’entreprise - comme c’est le cas pour le Cloud Brainloop, les chevaux de Troie ne peuvent y avoir accès. Les utilisateurs, qui s’authentifient à partir d’un navigateur, peuvent ainsi accéder ou modifier les données selon leurs autorisations, sans risque de modification des documents à leur insu.
La sécurité des données de ses clients étant au cœur de son métier, la société allemande rappelle ainsi qu’aucun système lié à Brainloop ne peut être affecté par un virus, un certain nombre de processus, définis par des spécialistes informatique et sécurité, permettant de parer à toute attaque. De plus, le réseau interne de Brainloop est protégé par des outils professionnels de prévention contre spam et virus qui permettent de filtrer et identifier tout e-mail douteux..
« Les datarooms se positionnent comme des coffres-forts numériques permettant, entre autres, de sauvegarder des données hautement sécurisées », explique Jérôme Villain, Sales Manager chez Brainloop France. « Face à ce genre d’attaque nous pouvons rassurer les entreprises en leur certifiant que les solutions Brainloop sont systématiquement soumises à des autorisations et n’ont aucun lien avec le réseau des entreprises. Grâce à cette absence de lien, le ransomware ne peut se frayer un chemin à l’intérieur de la dataroom et infecter les fichiers stockés ».